L'inconnu du bois

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il y a 5 ans

C'était il y a quelques années, j'habitais alors dans une petite ville de grande banlieue. Un soir que je promenais au bord d'une rivière, j'arrivais à la hauteur d'un petit bois, coincé entre l'eau et une petite route. Je continuais ma route, et surpris dans ce bois des hommes. Ils étaient trois. L'un deux était à genoux en train de pratiquer une fellation au second, pendant que le troisième se masturbait devant eux. Ma curiosité me poussa à regarder la scène tout en restant en distance. L'obscurité tombante ne me permit rapidement de ne plus que distinguer quelques silhouettes discrètes, et un gémissement me fit comprendre que l'un deux avait jouit.

Je repris donc ma promenade, mais avec la scène observée m'occupant l'esprit. La nuit tombante me fit faire demi-tour, et en longeant à nouveau ce petit bois, j'aperçus de nouvelles silhouettes. Je m'approchais un peu plus près cette fois, et caché derrière un buisson, je vit à nouveau un homme en sucer un autre avec application. Mon pantalon dissimule mal mon érection, et je ressens une certaine excitation. Je me surprends même à me caresser au travers du tissu. J'aperçois des phares à quelques centaines de mètres, et je commence à me dire qu'il s'agit d'un lieu de rencontre. Je m'échappe furtivement, et rentre à mon appart'. Il me fallut alors me soulager par une masturbation, courte compte tenue du degré d'excitation dans lequel j'étais, et une douche acheva de me remettre l'esprit à l'endroit.

Quelques semaines plus tard, je passais une soirée à chercher un corps à aimer sur internet. Mes recherches ne donnant pas de résultats, je commençais à ressentir une certaine frustration, et mon état d'excitation ne me permettait pas d'aller me coucher dans l'immédiat. Il était assez tôt, l'automne démarrait à peine, et il faisait doux dehors. Je me mis alors à repenser au petit bois. Mon envie du soir n'excluait pas de me taper un mec, et après tout j'y serais en quelques minutes. La nuit était tombée, et après tout, il y avait peu de chances que l'on me reconnaisse, la discrétion étant une condition sinequanone. Je pris donc ma voiture et me rendit sur place, en ayant tout de même une sacré boule au vente.

J'entreprends donc de chercher l'accès à mon petit bois par la route. Je longe donc le cours d'eau, et j'arrive à la lisière d'un bois. Rapidement sur la gauche, un accès sans barrière s'enfonce dans la forêt. La route ressemble beaucoup à celle qui accueille beaucoup de prostitués dans leurs camionnettes. La peur d'être surpris me taraude, et j'hésite à rebrousser chemin, mais au bout de quelques centaines de mètres, j'arrive sur un petit parking improvisé sur lequel plusieurs voitures sont déjà garées. Je gare donc mon véhicule dans un coin sombre, et je coupe le contact. Il y a plusieurs véhicules de toute gamme. Et à côté de l'une d'elle, j'aperçois trois silhouettes tournées vers l'intérieur où la veilleuse est allumée.

Au bout de quelques minutes à hésiter, je décide de sortir de ma voiture, non s'en mettre équipé au préalable de quelques préservatifs. J'enfile ma capuche, et m'enfonce dans le bois. En passant à côté de la voiture à la veilleuse allumée, j'aperçois une femme, probablement dans les 50 ans, les jambes écartés, et je comprends que le lieu n'est pas réservé qu'aux homos. Je marche une centaine de mètre avant de tomber sur un couple en train de faire l'amour. Un type à la trentaine bien tassée, est en train de prendre un type dont je ne vois pas la tête, mais dont le gémissement continue, me laisse penser qu'il est plus jeune. L'homme actif semble motivé par une sorte de rage alors qu'il achève son partenaire à grands coups de rein. Alors qu'il calme le rythme pour reprendre son souffle, il constate ma présence, et me lance en me regardant :

"tu peux te branler si tu veux!"

"Je vais faire un tour d'abords"

Un peu plus loin dans le bois, un autre groupe. Plusieurs hommes, peut être trois ou quatre entoure un autre couple en train de faire l'amour. Un mec à quatre pattes est en train de se faire prendre, en suppliant qu'on le traite de tous les noms. Je reste un peu en retrait, personne ne fait attention à moi. Quatre hommes autour du couple se masturbent, et un autre regarde, comme moi, un peu plus dans l'ombre. Celui qui ramonait le mec passif semble sentir venir la jouissance, se retire et éjacule sur son partenaire, qui en demande encore. Alors les hommes se regardent et l'un deux se dévoue, enfile une capote, et reprends sa besogne.

Un peu surpris par l'aspect un peu glauque de la scène, et pourtant tiraillé par l'envie de me soulager y comprit avec un inconnu dans ce bois sombre, je me hasarde à pousser un peu plus loin dans ce bois. J'arrive très vite à la hauteur du fleuve, et déçu par le calme qui y régnait, je rebrousse chemin. Je décide de retourner vers le premier couple, et passe donc sans m'arrêter devant la tournante et ses spectateurs. Je m'aperçois que l'homme qui était resté dans l'ombre s'approche de moi et vient me parler. Nous marchons un peu ensemble en faisant connaissance vers le premier couple. Mon camarade me confie qu'il vient de temps à autre ici, et qu'il y a souvent du monde. Il repart toujours soulagé, même si tous ses partenaires ne sont pas à son gout. Je semble l'être pour ma part, et il ne m'est pas indifférent. Je commence à nouveau à sentir mon sexe se tordre dans mon caleçon.

Nous arrivons à la hauteur du premier couple, mais ces deux là semblent avoir terminé. Le mâle dominant s'est rhabillé, embrasse son partenaire et s'en va. A regret, son jeune amant le regarde partir les yeux dans le vague. il s'aperçoit alors de notre présence, et nous salue. Il a cependant l'air d'être un peu ailleurs,et je lui jalouse déjà l'orgasme que je le soupçonne d'avoir eu quelques instant plus tôt. Le pantalon sur les chevilles, ses pas sont mal assurés, et il s'adosse au dos pour reprendre son souffle. Mon partenaire, quant à lui, ne s'attarde pas sur l'état du jeune, et me prends par la main, pour m'emmener dans un coin sombre. Il doit à haute voix:

"tu me plaîs, tu veux baiser?"

"oui" murmurais-je mal à l'aise d'être traité comme tel devant le jeune inconnue.

Celui ci n'esquisse pas une seule réaction, et nous regarde nous éloigner à une dizaine de mètre. Mon partenaire me prends alors dans ses bras, et m'embrasse. Je me laisse faire, un peu intimidé. Sa langue v i o l e ma bouche, et il prends clairement l'ascendant dans notre relation éphémère. Ses gestes sont plus sures que les miens. Il m'embrasse le cou, et ses paroles sont crues, probablement mis en confiance par la scène qu'il a longuement observé. Il desserre alors sa ceinture, et fait tomber son pantalon à pinces qui lui donnait une certaine classe. Il appui sur mes épaules pour faire mettre à genoux, et une fois que je me suis exécuté, alors il baisse son slip. Je suis incapable de donner un âge à mon partenaire. Je ne distingue par vraiment son visage, je pense qu'il est métissé sans pour autant avoir de certitudes. Il a une certaine classe, une aisance séduisante. Il sent bon, paraît sain, et ses mains douces et chaudes. Son sexe sent bon également, et il n'est pas bandé à fond. Il est d'une taille respectable déjà.

Après s'être assuré que son outil me convenait, il me dit alors d'une voie douce, mais sur un ton ferme, d'ouvrir la bouche. Dans le fond, je pense que le fait qu'il prenne les choses en main me rassurait pour ma première visite en ces lieux. J'écarte alors mes lèvres, et il s'y glissa doucement. Il me parlait constamment, soulignant à quel point ce moment l'excitait, et il énumérait alors les traitements qu'il me réservait. Pendant que mon amant me parle, j'entame une fellation que je veux intense. Je m'attarde sur le méat, et je sens sa tige devenir dur. Son sexe est assez long, mais pas trop épais. Au bout de quelques minutes, mon amant jugea que la fellation devait changer de rythme.

Il me complimenta sur le début du traitement que je lui avais expliqué, mais il m'expliqua qu'il en voulait un peu plus. Il me saisit alors fermement la nuque d'une main, et me caressait les cheveux de l'autre. Il enfonça doucement son sexe au plus profond de ma bouche, jusque dans la gorge. Ses propos étaient à la fois crues et humiliants, et rassurants. Malgré quelques haut-le-cœur, je trouvais mon compte dans cette pratique, et et accepta avec délice la contrainte. Je fermais alors les yeux, et sentit chaque centimètre de la chair étrangère qui visitait ma gorge. Je salivais énormément, et je ne pouvais parler. Au bout d'un moment il jugea qu'il en avait assez eu, et en se retirant d'un coup, me jouit sur le visage. En quelques secondes, il prit des mouchoirs, s'essuya, puis m'en tendit un. Il remonta son pantalon, et sans un mot me laissa seul dans le bois.

La frustration était à son comble, mais la situation m'avait terriblement excité, au point qu'à cet instant, je décidais de retourner vers l'homme-objet qui semblait accepter la visite anal de tous les promeneurs de ce bois. Après avoir essuyé la substance visqueuse de mon visage, je repris le chemin du fond du bois, et m'aperçus que l'homme à l'orifice accueillant était seul et s'était rhabillé et fumait une cigarette, s'apprêtant probablement à partir. Je sentais une certaine déception m'envahir, et explora alors les alentours du bois jusqu'à la rivière, personne! Je pris alors le chemin du retour, me consolant en me disant que je viendrais une prochaine fois un peu plus tôt. je traversais les bois sombres, le sexe gorgé de s a n g , prêt à exploser, et n'ayant pas trouvé pour sa part d'endroits à visiter. Mon cerveau tournait à 100 à l'heure, et je ressentais une profonde satisfaction à avoir sucer un inconnu. Arrivé au parking, je m'aperçus qu'il ne restait trois voitures, hors je n'avais pu voir qu'une personne dans les bois.

Je m'approchais donc d'une des voitures, une berline haut de gamme, et un petit chemin prenait une autre direction dans la forêt. Il faisait complètement noir, et je faillis rater mon objectif, si un gémissement grave ne m'avait pas interpelé. Je m'approchais alors, face à deux amants, pantalons sur les chevilles. Penché sur un arbre, un jeune homme au look efféminé se faisait sodomisé par un grand homme, assez mince. il semblait doux, et ses mouvements de reins étaient lents, chacun d'eux avait l'air d'aller au fond de l'anus de son partenaire, lui soutirant un râle à chaque aller. Je fus accueillit par deux sourires. Bien que l'un des deux ne soit par en mesure de tenir un discours, son partenaire prit sur lui de me mettre à l'aise. Il me proposa dans de participer, ce que j'attendais d'ailleurs depuis mon arrivée. Cela était peut être la dernière chance de me soulager, et ça allait être court. Mon pantalon tomba à mes chevilles, et alors le jeune homme fut prit en sandwich, j'insérais mon sexe dans sa bouche, il le goba,et commença à le sucer avidement. Je lui pris alors la tête, comme on me l'avait fait juste avant, et j'entrepris alors de lui baiser la bouche, en suivant le rythme de son premier amant.

Ses gémissements furent alors étouffés, mais il n'offrit aucune résistance, et semblait entièrement soumis à son partenaire qui lui intimait l'ordre de me traiter du mieux possible. Il ne tarda d'ailleurs pas à jouir, et après un instant de jouissance pure, maintenant fermement sa victime entre ses mains, et les yeux mi-clos, il se retira d'un coup sec, et me proposa la place, négligeant d'ailleurs de demander l'avis au jeune homme. Il devait avoir 18 ans, et pris de scrupules, je lui demandais malgré tout son avis. Ce à quoi il répondit par un gémissement, et tendit les fesses. J'enfilais un préservatif, et m'introduit en lui d'une traite. Son anus était dilaté, et j'entrepris mes va et viens devant son premier amant qui ne débandait pas. L'orgasme vint en quelques minutes, et nous nous écroulâmes dans les feuilles humides. Je me rhabillais sans un mot et partit, alors que le jeune homme commençait une nouvelle fellation à son amant du soir.

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